L’improvisation libre
Résumé
L’écriture domine la tradition savante européenne jusqu’au milieu du 20e siècle, en réservant l’improvisation aux musiques fonctionnelles ou populaires. L’improvisation est bien vivante dans les musiques traditionnelles ou le jazz. À l’organite on demande d’accompagner, d’introduire, de commenter et varier un texte grégorien, et d’improviser les parties musicales de l’office. Techniquement proche de l’improvisation, l’accompagnement ou harmonie pratique, est réservé aux pianistes : c’est l’héritage de la basse continue, pour les besoins de l’opéra, des chœurs, des cours de danses. La situation change radicalement après 1945.
Origine : Fichiers produits par l'(les) auteur(s)
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