, Eine Grundlegung der Literaturwissenschaft, München, M. Hueber, vol.2, 1960.
, Je remercie Francis Goyet et l'équipe RARE qu'il dirige à l'université Stendhal-Grenoble III de m'avoir facilité l'accès
, , p.13, 1657.
, , vol.II, pp.26-27, 1640.
, , 1670.
, , p.299
,
Virgilii Maronis Priores sex libri Aenidos, Lyon, H. Cardon, 1612 ; G. J. Vossius, Rhetorices contractae, op. cit. ; <M. A. Ferrazzi>, Exercitationes rhetoricae in praecipuas P. Virgilii Maronis orationes, p.1694 ,
, 1844-1855) abonde de références en la matière
, et La Pratique du théâtre de Fr. Hédelin, abbé d'Aubignac, pp.1639-1640, 1657.
, Voir G. Forestier, Essai de génétique théâtrale, vraisemblance : aussi doivent-ils être empruntés à l'Histoire ou à la Fable (ibid, pp.109-111, 1996.
, L'expression littérale figure chez Corneille (Othon, V, 6), mais Racine en diffracte la formule à de nombreuses reprises dans l'ensemble de son oeuvre
Le livre des fondations, 1983. ,
10 : « La voix du sang de votre frère crie de la terre jusqu'à moi » (trad. Lemaître de Sacy) ,
, , 2000.
, , 1673.
, , pp.1780-1782
toujours le timide Néron / N'ose-t-il être Auguste, et César que de nom ?, pp.197-198 ,
, Pour une synthèse sur la notion, voir C. Kerbrat-Orecchioni, Les Actes de langage dans le discours, Théorie et fonctionnement, 2001.
, , 1676.
Qu'il règne donc ce Fils, ton soin, et ton ouvrage. / Et que pour signaler son empire nouveau / On lui fasse en mon sein enfoncer le couteau, Nos italiques, pp.1780-1782 ,
, À la forme positive puis négative : « Mais je veux que ma mort te soit même inutile : / Ne crois pas qu'en mourant je te laisse tranquille, pp.1679-1680
par son aspect tensif (non-accompli), laisse ouverte cette possibilité qu'il ne donne pas comme sûre, là où les nombreux futurs de l'indicatif en prennent le pari, pp.1682-1691 ,
héritier détestable / Abolir tes honneurs, profaner ton Autel », Athalie, v. 1789), relayés par leurs équivalents périphrastiques (« Par des faits glorieux tu te vas signaler, 1673. ,
,
que tu reçus de moi, Partout, à tout moment, m'offriront devant toi. injure. Voilà ce que mon coeur se présage de toi ,
,
, Annexe 2. Athalie, acte V, scène 6, v. 1768-1790 ATHALIE Dieu des Juifs, tu l'emportes ! Oui, c'est Joas, je cherche en vain à me tromper. Je reconnais l'endroit où je le fis frapper. Je vois d'Ochosias et le port
Achab seul est détruit ,
qui me flattant d'une vengeance aisée, M'as vingt fois en un jour à moi-même opposée, Tantôt pour un enfant excitant mes remords, Tantôt m'éblouissant de tes riches trésors Que j'ai craint de livrer aux flammes ,
, Qu'il règne donc ce Fils, ton soin
Fidèle au sang d'Achab, qu'il a reçu de moi, Conforme à son Aïeul, à son Père semblable, On verra de David l'héritier détestable Abolir tes honneurs, profaner ton Autel, Et venger Athalie ,